France-Musique : Voyage dans l'Europe des 16e , 17e et début du 18e siècle avec Élisabeth Joyé

RFC - Musique en Provence par Bénito Pelegrin

"Cette allemande à fleur de larmes (Richard), cette passacaille aux volutes amères (Rossi), cette chaconne en fa (Fischerà où la musique laisse libre cours à son affection témoigne d'un art souverain du clavier où se conjuguent maîtrise et sensibilité." Jean-Christophe Pucek - Diapason

"Pour rendre pleine justice à ce programme, il faut un interprète bien dans le style et, surtout, doué de grande sensibilité pour éviter la sécheresse, l'académisme que cette musique pourrait prêter. C’est le cas de la merveilleuse Élisabeth Joyé, qui met à nu son âme musicale dans ces miscellanées -comme le titre l’indique- toujours au service du répertoire interprété. Javier Sarría Pueyo - Scherzo

"Pas de virtuosité creuse qui cherche à impressionner, et pas non plus de grande construction architecturale qui ferait perdre la magie du détail. Ici, c'est pièce après pièce, bijou après bijou qu'Elisabeth Joyé déploie ses petites merveilles, selon un parcours certes varié, mais aussi simplement chronologique. Ces bijoux, elles les éclaire, les fait miroiter avec tendresse, et nous pouvons ainsi profiter de toutes les irisations de chromatisme, de tous les raffinements de contrepoint." Matthieu Roc - ResMusica

"De cette liasse de fleurs secrètement assemblée et méticuleusement exposées, délicatement ciselées (que de grâce dans cette Chaconne en fa de Fischer !), Élisabeth Joyé, en fine styliste, par son art de dire et phraser, exfiltre une harmonie supérieure. Une suprême poésie qui, au faîte de la multiplicité sensible de ces calices qu’elle égrène et dont elle nous embaume, retisse le symbole vers une certaine idée du Beau. Confuses paroles rendues au Parnasse. Ambition baudelairienne, voire mallarméenne ?" Christophe Steyne - BaroquiadeS

"Point de ferraillement assommant et de bruits de mécanique, mais plutôt des sonorités proches du luth (au virginal et à l’épinette) et des harmoniques magnifiques, toujours parfaitement claires car remarquablement captées. Elisabeth Joyé sait mettre en valeur les pages qu’elle a puisées avec goût au sein de son répertoire favori. Elles respirent une liberté inouïe. " Stéphane Guy - ConcertoNet

"Sublime évidence naturelle des délicieuses « Miscellanées » tendrement aimées de toute une vie de musicienne lumineuse de la chère Elisabeth Joyé…" Francis Lippa - En cherchant bien...

"Le jeu d’Élisabeth Joyé se mue au fil des pièces, tantôt affirmé (...) ou bien tout en douceur et introspection (...) ou encore avec juste ce ce qu’il faut d’impérieux pour interpréter la chaconne de d’Anglebert. Un véritable tour de force à saluer. Une interprétation tout en finesse et intelligence pour ce programme riche en découvertes." Michel Pertile - Utmisol

"Il existe quelques disques, mais peu nombreux, qui ressemblent à leur interprète. L'inspiration brillante, la grâce délicate d'Élisabeth Joyé ne pouvaient choisir un programme plus approprié pour dépeindre son talent de nacre et son raffinement méditatif." Ferruccio NuzzoGreyPanthers

 

 Coup de cœur"(...) l’on se prend à ce programme finement rassemblé, construit autour de la musique vénitienne de la première moitié du XVIIème siècle et qui invite l’auditeur à des duos entre la voix ductile, claire et pure de Violaine Le Chenadec (superbe « O quam tu pulchra est » de Grandi) et le cornet à bouquin d’Adrien Mabire qui assume souvent la deuxième ligne de chant et où le souffle chaleureux et délicat d’Adrien Mabire en fait une voix humaine. Le climat intimiste, sobre et éloquent, la finesse d’exécution, le soin de miniaturiste apporté aux timbre, une certaine austérité des lignes font de cette interprétation puissante et concentrée un régal de timbres et de textures, avec des œuvres rares et des partis-pris de transcriptions tout aussi originaux (...)." Viet-Linh Nguyen - Muse Baroque

"L’interprétation de La guilde des mercenaires est à la fois savante et émouvante. La voix de Violaine Le Chenadec est souple et gorgée de cet art du discours qui nourrit ces airs par lesquels passent de nombreux états d’âme. Les instruments sous-tendent une harmonie riche et nouvelle dans ses intentions grâce à un continuo solide et subtil. La prise de son raffinée de Ken Yoshida dans la belle acoustique de l’église de Notre-Dame de Kerfons dans les Côtes-d’Armor, apporte une ambiance chaleureuse et agréable à l’écoute. Le choix de « Riposta » comme titre de cet album éclaire sur la démarche des musiciens, prêts à se répondre en harmonies ou en contradictions, au gré des textes musicaux." Frédéric Muñoz - ResMusica

"Venise autour du Seicento et le duo avec basse continue (soprano et cornet à bouquin en deuxième voix) : telles sont les deux lignes directrices de ce florilège audacieux. Les choix du programme réserve d'agréables surprises, surtout les pages trop rarement jouées d'Ignazio Donati. (...) le cornet virtuose et aérien d'Adrien Mabire résume la science de la diminution des ces Mercenaires." Frédéric Degroote - Diapason

 "La richesse du programme, construit autour de la musique vénitienne de la première moitié du XVIIe siècle et de Monteverdi, se révèle passionnante. D’abord par le choix des pièces où la rareté n’est pas là pour faire preuve d’érudition, mais pour offrir à l’auditeur une variété de registres et d’authentiques découvertes. (...) La richesse des timbres sert merveilleusement la polyphonie de la basse continue qui soutient la voix de Violaine Le Chenadec et se renouvelle sans cesse. La chanteuse varie à plaisir les registres expressifs au fil des pièces et se révèle aussi à l’aise dans le registre religieux que dans la désinvolture des madrigaux amoureux." Frédéric Norac - Musicologie.org

"La Guilde des Mercenaires offre ainsi, avec cet enregistrement intime et éloquent, un intéressant voyage sonore au cœur du XVIIe siècle vénitien. La symbiose entre voix et instruments traduisant par la délicatesse un plaisir évident de se retrouver et de partager ce répertoire où chacun trouve naturellement sa place." Emmanuel Deroeux - Olyrix

"La formation de ce CD est fort originale : le continuo (orgue, clavecin, basson et théorbe) accompagne la voix et le cornet qui assure, lui aussi, en soliste ou en duo avec la soprano, la partie chantée ! (...) Violaine Le Chenadec possède une voix charnue, pure et claire, extrêmement agile dans la multitude des fioritures et des vocalises. Une diction impeccable qui permet de comprendre toutes les inflexions des textes et d'apprécier les contrastes de puissance (PPP remarquables) et de rythmes d'une musique au service de la parole. (...) (Adrien Mabire) est un virtuose du cornet à bouquin. Il possède les mêmes qualités que la voix de Violaine Le Chenadec. On a presque l'illusion de comprendre les paroles ! " petitchoeurODB-opera

"La Guilde épouse au plus près le chant dans le duo avec basse continue, à l’image des envolées célestes d’Angelus ad pastores de Bovicelli ou du Salve Regina de Donati. Dans un autre registre, profane, on apprécie tout autant les accents véhéments de la chanteuse dans les reproches amoureux des Scherzi Musicali « Et e pur dunque vero » SV 250 et « Quel sguardo, sdegnosetto » SV 247 – cet ultime madrigal couronné d’un rire sardonique. (...) Admirable Guilde des Mercenaires dans la ferveur intime de la miniature." Franck Mallet - Musikzen

"L'écoute de ce délicieux programme, tout imprégné d'ambiances et d'ambiances monteverdiennes – le Divin Claudio fut le grand influenceur de son siècle – ne résoudra pas le mystère du nom de l'ensemble, mais l'énigme ne voile à aucun moment la pureté des sons et timbres, ni ne perturbe les lignes mélodiques tourbillonnantes de la musique sublime qui entrelacent comme par magie les voix et les instruments de cette coopérative mercenaire dans leur voyage à travers les perspectives sereines de la musique vénitienne de la première moitié du XVIIe siècle. Notamment dans les divins duos qui comparent la voix de Violaine le Chenadec et le cornetto (ou cornet à bec), un instrument rare, qui excelle rarement dans l'élégance de la ligne mélodique et l'extrême précision d'intonation qu'il donne, juge Adrien Mabire." Ferruccio Nuzzo - GreyPanthers

 

 
 
 

"(Virginie Thomas) possède le timbre idoine pour incarner ces rôles légers, un sens du mot qui fait mouche, joint à un style impeccable. Programme habilement construit, aux affects divers, interprété avec beaucoup de goût : un sans-faute" Loïc Chahine - Diapason 

 
 
Clé de ResMusica "La voix souple et flexible de Virginie Thomas fait merveille dans ces rôles qualifiés de « légers ». Sa parfaite diction et la clarté de son éloquence permettent de suivre toutes les inflexions du discours. (..) Grâce à la variété de l’instrumentarium et à la grande liberté d’expression d’interprètes rompus au grand style français, ce programme offre une palette sans cesse renouvelée de couleurs chatoyantes. » Cécile Glaenzer - ResMusica
 
 
Muse d'argent "(...) nous soulignerons tout le plaisir pris à l’écoute de ce disque, qui éclaire la curiosité de tout mélomane lyrique sur ces airs quelques peu secondaires, et dont les tonalités, sous une apparente légèreté, cachent souvent une profondeur révélatrice des questionnements moraux de leur époque. Secondaire, mais absolument charmant.» Pierre-Damien Houville- Muse Baroque
 
 
"Dans cette très belle musique prédominent, bien sûr, les affects les plus sensibles et délicats. Le programme est très imaginatif et propose des nouveautés très bienvenues.(...) La voie de Virginie Thomas montre une merveilleuse adéquation à ces rôles légers dont nous parle Dratwicki : raffinée, délicate, expressive et contenue dans le temps, elle est idéale pour ces ces pièces vocales exquises." Javier Sarría Pueyo - Scherzo
 
Nympho-maniaque au sujet du concert du 27 septembre "La voix de Virginie Thomas, souple et expressive, capable d’une belle amplitude et d’une qualité de diction que nous avons déjà soulignée fait encore merveille dans les extraits depuis longtemps connus de la chanteuse du Titon et l’Aurore (1753) de Mondonville, en particulier le lent et doux « Que je plains les cœurs amoureux » et « Ce ruisseau qui dans la plaine ». (...) Au final, un concert s’avérant une indéniable réussite et une plongée savoureuse chez ces nymphes entremetteuses et mutines de l’opéra français, en compagnie de Virginie Thomas, dont la voix et la connaissance de ce répertoire suscitent le plus grand intérêt." Pierre-Damien Houville - Muse Baroque
 
"Un tel programme mêlant récits, petits airs (certains proches de brunettes), grands monologues, airs parodiés (souvent des danses parées de paroles), petits ensembles, permet de témoigner de toute la diversité des splendides talents vocaux de Virginie Thomas. Le timbre est clair, lumineux ; la voix souple et agile sait ornementer délicatement et avec le meilleur goût qui soit ; la diction parfaite, optant pour un français contemporain (on ne s’en plaindra point). Mais au-delà de ces mérites techniques, il y a surtout une capacité à incarner une foule de nymphes finalement singulières dans leurs expressions. Les pages ici réunies parcourent tout un éventail d’émotions, allant de la légèreté jusqu’au désespoir le plus grand, en passant par la joie, plus ou moins teintée de mélancolie. Toute cette palette rend cet album complètement addictif, tant les charmes qu’il dispense sont puissants." Stefan Wandriesse - BaroquiadeS
 
"Virginie Thomas possède une voix lumineuse, elle maîtrise avec talent les subtilités de cette écriture baroque ainsi que toutes les articulations des vocalises et des mélismes qui jalonnent ces scènes miniatures. Elles invitent aux plaisirs de la vie, de la liberté et de l'amour ainsi qu'à leurs tourments.(...). Ce CD est un régal de beauté et d'intelligence" Pierre Tricou - ODB-Opéra
 
"Virginie Thomas déploie un phrasé élégant soutenu par un style impeccable - une point de préciosité dans l'élocution sied aux textes et aux personnages évoqués. (...) le timbre juvénile et claire ne laisse pas indifférent et l'art de la soprano française est évident." Michel Parouty - Opéra Magazine
 
"Si le programme inclut les airs guillerets ou sensuels auxquels on pouvait s’attendre, il permet aussi à Virginie Thomas de se montrer une interprète sensible, avec une impressionnante série de monologues déclamés par de véritables héroïnes, comme la Proserpine de Lully(...). Autour de la soprano, la musique de ces compositeurs est interprétée par une douzaine d’instrumentistes, ce qui nous plonge dans la pratique des meilleurs amateurs du temps, lorsque ces partitions étaient adaptées aux petits effectifs que l’on pouvait réunir dans les salons. " Laurent Bury - Première Loge
 
"Virginie Thomas, exemplaire de style, s’investit totalement dans son projet. Le timbre est séduisant, les textes sont servis par une ligne exemplaire, souple. L’aisance de l’ornementation appropriée, les qualités d’élocution et le sens dramatique, le chant de notre soliste n’appellent que des louanges." Yvan Beuvard - FORUMOPERA
 
"Conçu comme un opéra, le CD fait la part belle à la jolie voix fraîche de Virginie Thomas (...)"Les chroniques de Benito Pelegrín
  
"A travers une collection d'airs d'opéra français des XVIIe et XVIIe siècles, on suit l'évolution des styles comme la persistance de cette figure (de la Nymphe) qui occupait autant les scènes que les salons. Et désormais les nôtres." J.-F. T. - L'Alsace
 
"La jolie voix bien articulée de Virginie Thomas interprète ces morceaux qui puisent dans le répertoire baroque, en passant principalement de Lully à Campra, Rameau, Francœur et Rebel… L’ensemble orchestral emmené par Béatrice Martin (clavecin) et Emmanuel Resche-Caserta (violon) est délicat et dessine de belles couleurs" François Jestin- L'Ingénieur - Constructeur
 
Must de ConcertNet"Ce premier disque de Virginie Thomas constitue une belle réussite. Réécouté plusieurs fois, on ne s’en est pas lassé. On le conseille donc fortement." Stéphane Guy- ConcertoNet
 

Andrea Gabrieli - La peine de mon cœur

Sébastien Wonner, clavecin

 
 
 
 

Muse d'Or "Vous l’aurez compris, Gabrieli, des compositeurs à redécouvrir, et à qui Sébastien Wonner rend avec ce disque un hommage superbe au premier d’entre eux, faisant de ce récital pour clavecin un disque d’un plaisir constant."  Pierre-Damien HouvilleMuse Baroque

"Moins célèbre que son neveu Giovanni, Andrea Gabrieli mérite la considération comme compositeur, entre autres, d’œuvres pour le clavier. Ce CD en présente un florilège, joué au clavecin par un interprète en totale empathie avec son langage. À découvrir." Jean-Pierre Robert - ON-mag.fr
 
"C'est toute la poésie intemporelle du clavecin que (Sébastien Wonner) fait ici rayonner au fil d'une heure teintée de romantisme." L'Alsace
 
"L'interprétation sensible et transparente de Sébastien Wonner est entièrement inspirée – « j'en étais obsédé », écrit Sébastien – par la coloration vénitienne, qui plus que la savante polyphonie caractérise ces compositions (...). « Qui le dira, la douleur de mon cœur ? » Et d'ajouter avec Willaert, maestro di cappella à San Marco : « Je voudrais vous quitter, mes retours sont si doux »." Ferruccio Nuzzo - GreyPanthers
 

Un clavecin pour Marcel Proust

Olivier Baumont, clavecin

 
 

"Sous ses doigts, la musique épouse le caractère de chaque pièce, le style est ample et généreux, l'articulation précise (...). Aucun admirateur de Proust ne voudra passer à côté de ce passionnant parcours.", ce patchwork fort subtil joue sur des affinités sonores déroutantes. " Adélaïde de Place - Diapason

 
"Le voyage commence et s’achève chez Couperin, ce compositeur du sensible, ce pastelliste des âmes, à travers le temps peut-être le plus vrai double, pour l’émotion, de Marcel Proust. Olivier Baumont boucle ici son propre univers, lui qui fit de Couperin le sommet de son art, dans cet album raffiné, spirituel, où il révèle jusqu’au pastiche des Six Pièces de clavecin d’Eugène Anthiome : la Toccata donne envie d’entendre le reste de cette suite." Jean-Charles Hoffelé - ARTAMAG'
 
"Olivier Baumont a composé un écho passionnant à l’imaginaire proustien où il s’agit d’apprécier son toucher élégant dans Rameau (extraits des Indes Galantes et Gavotte de Dardanus transcrite par Balbastre) comme dans Bach : fragments de la Sixième Suite anglaise et du Clavier bien tempéré." Franck Mallet - Musikzen
 
"Cette improbable rencontre entre Marcel Proust et le clavecin rend pourtant parfaitement compte d’un esprit propre à l’univers particulier de l’écrivain mieux que tant d’hypothétiques concerts reconstitués." François Hudry - Qobuz
 
"Mais Baumont a même déniché des pièces originales pour clavecin contemporaines de Proust, comme le « Menuet d’amour » du drame musical Thérèse de Massenet et la Toccata d’Eugène Anthiome (1836‑1916), pastiche tout à fait remarquable et « cellule génératrice » de tout ce programme (...). Tout cela est bon non seulement pour les oreilles mais pour l’esprit, et donc tout à fait recommandable" Marc Laborde - Culture31
 
"A l'occasion de la célébration du centenaire de la mort de l'écrivain, la Société des Amis de Marcel Proust et le claveciniste Olivier Beaumont ont imaginé – puis enregistré – (...) un programme dont chaque pièce fait référence à un personnage ou à un moment particulier de la Recherche . Bach, Couperin, Rameau, mais aussi Ravel, Massenet, et Eugène Anthiome, compositeur oublié de l'époque, avec sa Toccata ." Ferruccio Nuzzo - Grey Panthers
 
"L'interprétation extrêmement soignée et sensible ne laisse rien à désirer, et même Proust aurait été satisfait de la fraîcheur et de la musicalité proposées ici." Rémy Franck Pizzicato
 
"Inattendu, ce programme hommage à l’écrivain monumental de La Recherche est un ensemble de joyaux et de grandes raretés comme l’Andante de Leontzi Honauer ou encore cette Toccata d’Eugène Anthiome qui composa de superbes pièces pour clavecin à l’époque de Proust, sans oublier le délicieux Reynaldo Hahn." Boris Tishchenko ConcertoNet
 
 

Bach - Suites françaises

Pierre Gallon, clavecin

 
 
RCF La culture en Provence par Bénito Pélégrin
 
Diapason d'Or "On louera aussi les qualités d'équilibre, la justesse rythmique (...), le rapport très fin au temps (..), l'ornementation n'entravant jamais la lisibilité du discours. Bach est ici à la fois "divers et ondoyant", architecturé d'un trait ferme, mais libre." Jean-Christophe Pucek - Diapason
 
 
Coup de coeur "Le jeu de "nasal" donne une touche exotique à la mystérieuse Sarabande en si mineur et le musicien sait de cette danse décliner une belle variété d'affects allant du sérieux (Suite n°1) à des textures diaphanes particulièrement envoûtantes (Suite n°2). Ce bel équilibre entre le contrepoint et la légèreté française permet de creuse davantage la fantaisie des menuets et d'assouplir des gigues habituellement univoques. On pourra se laisser séduire par le caractère posé, l'élégance discrète de de Bach qui ne livre ses secret qu'au fil des écoutes." Philippe Ramin - Classica 

Muse d'Argent "C’est à un récital très pensé que nous convie Pierre Gallon. On remarque d’emblée qu’il regroupe huit suites, la BWV 818a en la mineur et l’inachevée 819a en mi bémol majeur – bien connues mais souvent enregistrées séparément – ont rejoint le corpus canonique. (...) Pierre Gallon livre un Bach très intellectualisé, d’une complexité formelle remarquable. La lecture est soupesée au trébuchet, extrêmement articulée, très analytique. Voilà une radiographie des Suites, un Holbein millimétré plus qu’un sfuma"  Viet-Linh NguyenMuse Baroque

 
Must de ConcertoNet "Cet enregistrement est un indispensable à avoir dans sa discographie de Bach. C’est sans doute un des meilleurs que l’on pourra entendre. Pierre Gallon, nous fait une démonstration de virtuosité digitale et musicale. Peut‑être n’avons-nous pas entendu Bach avant d’avoir entendu cet enregistrement." Apolline Croche - ConcertoNet
 
"Bien évidemment, si l’instrument – aussi beau soit-il en lui-même – peut sonner ainsi, c’est parce que son musicien possède l’écoute et le touché qui permettent de lui laisser dévoiler ses richesses, comme pour les œuvres de J.S. Bach. On y retrouve la finesse et la sensibilité délicate, d’abord dans les phrasés, éloquents et fluides. Le discours musical est constamment transparent, d’apparence simple. Si la régularité parfaite des rythmes rappelle le côté pédagogique, voire studieux, de ces suites, elle n’empêche en rien d’apprécier la musicalité du compositeur et celle de l’interprète, toutes deux absolument vivantes. Pierre Gallon n’hésite pas, à la suite de ses recherches et son travail d’interprétation, à proposer des caractères un peu différents de ceux que l’on peut avoir d’habitude, privilégiant l’intimité à l’extravagance, l’intention à la démonstration." Emmanuel Deroeux - BaroquiadeS
 
"Cette nouvelle intégrale des Suites françaises de Bach offre la particularité de présenter non pas les six pièces habituellement retenues, mais plutôt huit, du fait des recherches les plus récentes opérées quant à la teneur de ce corpus. On le doit au claveciniste Pierre Gallon qui en livre des exécutions extrêmement pensées." Jean-Pierre Robert - ON-mag.fr
 
"Après son album célébrant Pierre Attaingnant, après sa mise en regard de Louis Couperin et de Froberger, Pierre Gallon dévoile une prodigieuse adéquation avec l’univers Bach. Vite, la suite !" Jean-Charles Hoffelé - ARTAMAG'
 
"Dans une interprétation intense, particulièrement orientée vers la réflexion – presque la méditation – Pierre Gallon nous livre une belle et originale lecture de ces Suites , où le sublime contrepoint de Bach l'emporte souvent sur la danse." Ferruccio Nuzzo - Grey Panthers
 
"La virtuosité est au rendez-vous, ce Bach est peut-être moins connu, mais il n’en est pas moins éblouissant d’inventivité, de génie. " Marc Laborde Culture 31
 
 

JS Bach - Libro Primo, 1720

Guillaume Rebinguet Sudre, violon, clavecin & orgue

 
France Musique "Le Bach du dimanche" par Corinne Schneider
 
RCF "MUSI'MAG" par Frédéric Munoz
 
RCF La culture en Provence par Bénito Pélégrin
 
Coup de coeur "Depuis que les musiques du passé font désormais partie d'un paysage musical familier, l'approche interprétative s'enrichit de pratiques auxquelles Guillaume Rebinguet Sudre apporte une contribution singulière : facteur de clavecin, violoniste, claviériste, il propose une lecture des Sonates et partitas qui dépasse le classique défi d'un violon polyphonique en faisant également appel au clavecin. (...) Un projet audacieux d'une remarquable cohérence." Philippe Ramin - Classica
 
"Volontiers introspectif (...), parfois fragile, cherchant toujours la luminosité sans gommer les aspérités (...), ce projet à mi-chemin entre chemin intérieur et offrande à l'auditeur relève d'une alchimie très personnelle. " Jean-Chistophe Pucek - Diapason
 
 "Cet enregistrement particulièrement réussi conduit à s’imprégner totalement de l’esprit de Bach tout en invitant à une écoute différente des œuvres présentées. Elles sont le fruit de l’inspiration d’un compositeur de génie qui pratiquait le violon aussi bien que le clavecin ou l’orgue… (...) Au fil du programme dont on ne peut que louer la cohérence, il livre un enregistrement du plus grand intérêt musical. Il disserte en musique sur l’écriture de Bach en cherchant à comprendre et à faire comprendre la pensée profonde du compositeur. (...) Entre concert et démonstration musicale, il ne fera aucunement double emploi avec d’autres versions de par son originalité. Il fera sans aucun doute le bonheur de ceux qui possèdent une ou plusieurs intégrales des Sonates et partitas pour violon seul et qui souhaitent écouter ces œuvres dans un contexte différent." Eric Lambert- BaroquiadeS
 

"Il est rare de rencontrer un artiste qui conjugue avec autant de réussite la pratique d’instruments différents et de spécialiste en facture. C’est ce que cet album consacré à Bach propose de découvrir. Guillaume Rebinguet Sudre disserte avec élégance l’archet, le clavier et l’outil de l’artisan avec bonheur en un programme révélateur de ses talents." Frédéric Muñoz- ResMusica

"Après tant de violonistes illustres, « modernes » ou « baroqueux », livrer une nouvelle version de ces monuments du répertoire, n’est-ce pas folie ? Guillaume Rebinguet-Sudre est sans doute un peu fou mais il a longuement mûri son projet. Des années de réflexion sur l’écriture de Bach, son rapport au violon et sa personnalité. Et deux ans pour enregistrer avec un ingénieur du son très patient !" François Clairant - Sud Ouestt

"Guillaume Rebinguet-Sudre relève ce défi avec brio et nous montre un brillant talent de violoniste dans la Sonata Prima et dans les trois partitas. L’articulation et le phrasé sont parfaits, le caractère de chaque pièce est fidèlement restitué. (...) (Il) nous livre donc ce projet ambitieux et atypique dans lequel il joue de ces trois instruments, fait rare et surprenant! " Pierre-Jean Schoen - Utmisolt

"Guillaume Rebinguet Sudre plays them alternately on the violin, the harpsichord and the organ. Thus he succeeds in a varied program on 2 CDs, and he proves to be an accomplished and expressive Bach interpreter on all three instruments." Rémy Franck - Pizzicato

"Un’idea singolare, per un risultato veramente interessante. Guillaume Rebinguet Sudre, violinista ben noto per le sue interpretazioni, vivaci e spontanee, di musica barocca su strumenti d’epoca, ha voluto mettere insieme tutte le sue molteplici virtù in questo album di due cd dedicato alla musica di Bach. " Ferruccio NuzzoGrey Panthers

 
 

Bernardo Storace - In Modo Pastorale

Marouan Mankar-Bennis, clavecin

 

 

Sélection mars 2022 pour le Prix de la critique musicale allemande - Instrument à clavier

 
 
 


"Partout on admire l'équilibre entre verticalité et tension de la phrase, un mélange de réserve et d'assurance propice au sentiment poétique. (...) Projet très abouti, cet enregistrement se place en première ligne pour le mélomane désireux d'approcher l'univers de Storace." Philippe Ramin - Classica

 

 
 
 

"Marouan Mankar Bennis en détaille les beautés post-frescobaldiennes avec un art consommé, des pièces les plus profondes (...), aux plus démonstratives (...), ces dernières avec le concours d'un percussionniste survolté. (...) Vrai-faux "collectage patrimonial", ce patchwork fort subtil joue sur des affinités sonores déroutantes. " Vincent Genvrin - Diapason

 

Muse d'Argent "Souhaitons donc à ce disque, aussi évocateur à écouter qu’à lire, de piquer la curiosité du mélomane au-delà du cercle des amateurs du Seicento sicilien, qui s’ouvrira ainsi les portes d’une école du sud musicale remplie de promesses."  Pierre-Damien HouvilleMuse Baroque

 
 
"Bernardo Storace, le prince sicilien du clavier baroque, brille de mille feux dans ce nouvel enregistrement qui lui est consacré. Marouan Mankar-Bennis, entouré d’amis artistes, passe avec bonheur de l’orgue au clavecin pour nous révéler quelques pépites colorées comme le soleil du sud." Frédéric Muñoz - ResMusica
 
"Les plaisirs et les éblouissements sont sans nombre, pour gourmets et gourmands. On y puise à satiété. On ne quittera pas la table sans féliciter aussi le choix de l’étonnante illustration de couverture, qui reflète parfaitement le baroque éventaire de ce disque : l’azuréen décor d’une poissonnerie napolitaine." Christophe Steyne - Crescendo Magazine
 
"Emporté dans cet imaginaire d’une Sicile vivante, pastorale et dansante, l’auditeur se laisse facilement porté par les propositions musicales de Marouan Mankar-Bennis. Car, malgré la variété de couleurs et de caractères, jamais l’oreille n’est brusquée grâce à une technique instrumentale aussi affirmée qu’excellente. En y prêtant attention, on peut être frappé par la conduite des phrasés, parfaitement sûre, régulière et néanmoins vivante." Emmanuel Deroeux - BaroquiadeS
 
"Avec goût, l’interprète, comme il s’en explique à propos de cet album enregistré durant le confinement, s’est adjoint quelques compagnons de voyage, acteurs de cinéma, bruits de marché et autres échos de la rue, qui viennent enrichir les quadrilles joyeux de son cher Storace dont il réveille l’âme pour notre plus grand plaisir." Franck Mallet - Muzikzen
 
"Baroques et immortels, ces thèmes évoquent les contredanses et autre tarentelle que l’on dansait dans l’Italie médiévale. Marouan Mankar-Bennis nous en restitue le souvenir intact." L'Alsace 

" (...) The music is good enough to elevate the album above mere novelty, and the colourful variety of keyboard instruments, recorded superbly, give added interest. Mankar-Bennis’s imagination as a performer shines through, and the musical journey is thus a thoroughly enjoyable one." Steven Watson - MusicWeb international

 

Händel vs Scarlatti

Cristiano Gaudio, clavecin

France Musique "En pistes !" par Emilie Munera et Rodolphe Bruneau-Boulmier

"(Philippe Ramin) s'est également enflammé pour ce face-à-face Haendel et Scarlatti organisé par Cristiano Gaudio, ancien élève, (...) d'Olivier Baumont et de Blandine Rannou au CNSMD de Paris. Ce disque se fait un écho imaginaire d'un duel entre les deux compositeurs-claviéristes organisé à Rome en 1709 par le cardinal et mécène Pietro Ottoboni. Scarlatti fut désigné vainqueur au clavecin, Haendel à l'orgue. " Classica

"

 

Pourtant, son disque approche la perfection. (...) Souple, sereine, fidèle à l'esprit et à la lettre, la main vole en toute liberté. (...) Ni pudeur, ni débauche : parfaite maîtrise et les moyens de l'oublier. Suivez ce garçon." Ivan A. Alexandre Diapason

 

  

"Du duel au Duo. Le jeune Gaudio nous fait revivre la rencontre exaltante entre Haendel et Scarlatti. Historique !" Philippe Ramin - Classica

 

 

 

Muse d'Argent "Si ce duel avec soi-même est un succès, c’est que le claveciniste a eu l’intelligence de ne pas s’embarquer dans une lutte gladiatoresque de virtuosité, bien au contraire. Il tente de nous livrer deux portraits, forcément très subjectifs, des jeunes Haendel et Scarlatti, et il est passionnant de voir que se dessinent sous son clavier un Haendel fier et orchestral, très coloré, presque sanguin (...). Le jeune Scarlatti semble plus dissipé, plus rêveur (...)"  Viet-Linh NguyenMuse Baroque

"On peut imaginer que (Cristiano Gaudio) a eu à cœur, d’adapter son style propre à celui de chacun des deux, qu’il défend avec une égale technique, une étourdissante virtuosité, leur prêtant toute la fougue de sa jeunesse et de son sang italien, sans en verser une seule dans cet idéal duel." Benito Pelegrin - Les Chroniques de Benito Pelegrin

"On peut se montrer reconnaissant de cet enregistrement, édité par L’Encelade et disponible dès le 5 novembre 2021, au programme aussi original que musicalement et historiquement sérieux, avec une proposition interprétative absolument séduisante." Emmanuel Deroeux - BaroquiadeS

"Virtuose dès l’entrée, le jeune homme nous précipite dans une des Toccatas du Manuscrit de Bergame, aux folies de laquelle William Babell a ajouté une pincée d’épices supplémentaires. Ces Toccatas diaboliques rythmeront un album fulgurant où s’invite un Scarlatti résolument ibère qui saisit dans son instrument transformé en guitare les musiques des rues et des champs, culminant dans les formules obstinées de la Sonate K. 43." Jean-Charle Hoffelé - ARTAMAG'

"(...) on ne peut qu'être séduit par la confondante maîtrise technique et le jeu inventif du jeune claveciniste formé auprès de Blandine Rannou et d'Olivier Baumont au CNSMD de Paris et conseillé par Christophe Rousset ou Skip Sempé." Jean-Pierre Robert - ON-mag

"La constitution de cet album et l’interprétation traduisent à leur manière le brio qu’on imagine celui de cette compétition à jamais soumise aux hypothèses. Celles de Cristiano Gaudio lui prêtent un sang vif qui irrigue superbement le fantasme." Christophe Steyne - Crescendo Magazine

"Fascinant. Une interprétation remarquable qui rend pleinement justice à ces œuvres de jeunes compositeurs talentueux, qu’il serait malaisé de départager, par un musicien qui a leur âge et témoigne lui aussi d’un grand talent. " Philippe Gut - opéramusiclassic

"Il possède non seulement la maîtrise de son instrument mais une virtuosité étourdissante qui nous emmène de pièce en pièce renouvelant toujours un vif intérêt. " Hugues Rameau-Crays - Classqiue c'est cool

"The 24-year-old Gaudio’s playing is exciting and very clearly articulated, with a strong sense of forward propulsion. It is the approach of a young man, excited by the potential of the instrument and of the musical template and, as such, highly appropriate to this project. " Noel O’Regan - Early Music Review

 

Ich schlief, da träumte mir

Anne Marie Dragosits, clavecin

Neue CDs - sélection de la SWR2 Alte Musik par Bettina Winkler.

RTS - L'Echo des pavanes par Benoit Perrier.


Nomination pour le prix de l'International Classical Music Award 2002 dans la catégorie musique baroque 

 

"Après un extraordinaire récital « Le clavecin mythologique », toujours pour le label versaillais L’Encelade, prétexte original à une exploration colorée et inspirée du répertoire de clavecin de la France du XVIIIe siècle (principalement), l’Autrichienne Anne Marie Dragosits nous prodigue une fois encore son art singulier du sortilège et nous embarque au cœur de la nuit, moment propice au rêve, et par-delà à l’imagination et à la création artistique."  Pierre-Yves Lascar - Qobuz

Clé de ResMusica "Anne-Marie Dragosits sert ces pièces avec une sensibilité admirable, sans alanguissement inopportun ni virtuosité trop démonstrative. Elle épouse à l’intérieur de chaque pièce sa poésie intrinsèque, la fait chanter et s’épanouir avec beaucoup de charme. Cette galanterie authentique, c’est-à-dire enracinée dans le sentiment, est sans doute l’essence même de cet Empfindsamkeit où elle voulait nous emmener."  Matthieu RocResMusica

 

Los Exceptionales "Dragosits toca con una elegancia que apabulla y demuestra un conocimiento absoluto de estos repertorios.(…). La presentación del CD y las notas informativas que contiene son espléndidas, algo a lo que ya nos tiene acostumbrados el sello L’Encelade."

Dragosits joue avec une élégance qui subjugue et démontre une maîtrise absolue de ces répertoires. (…) La présentation du CD et les informations du livret sont remarquables, à la hauteur de ce à quoi le label L’Encelade nous a habitué." Eduardo Torrico - Scherzo

 

Rétrospective: cinq disques classiques qui ont marqué 2021 "La claveciniste autrichienne Anne Marie Dragosits a en effet un sens consommé de la programmation, nous faisant divaguer avec bonheur entre un "Sommeille" de Christoph Graupner (1683-1760), des œuvres des fils Bach ou une suite dédiée à Uranie, la muse de l'astronomie. C'est sans compter le raffiné de son articulation et la chaleur d'un clavecin historique de 1728 conservé dans un musée de Hambourg.." - RTS

"Entre deux mondes donc, cette claveciniste sensible et brillante dévoile les feux du grand clavecin signé par Zell en 1728 et restauré par Martin Skowroneck en 1973 – l’instrument est pieusement conservé au Musée de Hambourg -, éblouissant ce répertoire rare de ses couleurs si vives, faisant chanter les polyphonies dans ses registres contrastés, animant dans le foisonnement de sa richesse harmonique les libertés et les inventions de tout un pan de l’histoire de la littérature du clavecin." Jean-Charles Hoffelé - ARTAMAG'

"(Anne Marie Dragosits) fait découvrir des pépites du style galant, où la galanterie laisse tomber ses corsets diurnes pour d’imprévisibles aventures harmoniques, de tendres langueurs, d’affreux cauchemars ou de piquants réveils." mch - 24 heures

"Saurait-on concevoir meilleur guide qu’Anne Marie Dragosits, tant pour la virtuosité que le style ? Son toucher est d’une éloquence, d’une suggestivité qui rappellent combien le clavecin est un instrument charnel, tactile.." Christophe Steyne - Crescendo Magazine

"Sous le titre « Ich schief, da träumte mir » (Je dormais en rêvant), ce sont des variations sur le thème du « Sommeille » (titre de deux pages de Christophe Graupner), nuits ponctuées de rêves ou de cauchemars, que propose la claveciniste, au travers d’œuvres du baroque germanique, de Johann Sebastian Bach bien sûr et de deux de ses fils, Carl Philipp et Wilhelm Friedmann, ainsi que de Johann Kaspar Fisher, Johann Kuhnau ou Johann Balthasar Kehl qui seront souvent pour les mélomanes de vraies découvertes finement ciselées dont on appréciera la diversité et une écriture tout à la fois descriptive et sensible. De la belle ouvrage…"  Philippe Gut - opéramusiclassic

 

 

Etienne Richard -Professeur du Roy Soleil

Fabien Armengaud, clavecin

 

France Musique "En pistes !" par Emilie Munera et Rodolphe Bruneau-Boulmier 

Cantabile "Instant présent" interview de Fabien Armengaud par Victoria Okada

RTS L'écho des Pavanes interview de Fabien Armengaud par Monica Schütz

COUACS L'Autre Monde : Trois frères et un manuscrit (Bayun) par Jean-Paul Combet


"Armengaud exécute avec la plus grande simplicité cette musique sobre en elle-même et un peu grave pour laquelle il avoue un enthousiasme bien compréhensible. Il adopte un jeu retenu et élégant, tout d'intériorité plus que de virtuosité (...)."
Adélaïde de Place - Diapason

"En défricheur insatiable, Fabien Armengaud exploire la troisième partie du manuscrit Bauyn, largement ignorée par la plupart des clavecinistes, et convie autour du mystérieux professeur de Louis XIV de grand et petits maîtres, du célèbre Louis Couperin à l'obscur Monnard. Beau parcours et bel instrument (...).." Philippe Ramin - Classica

"Voilà un récital de clavecin qui s’éloigne des sentiers battus et qui ne craint pas de s’aventurer sur les chemins de traverse du répertoire pour clavier du XVIIᵉ siècle français." Cécile Glaenzer - ResMusica

"En bien des endroits, Fabien Armengaud sait en outre adjoindre des reprises ornées d’un goût exquis. Son jeu a mûri et a gagné en ampleur (...). Sachons gré à Fabien Armengaud de faire montre d’originalité dans ses choix, là où d’autres semblent se complaire à réenregistrer les mêmes pièces." Stefan Wandriesse - BaroquiadeS

"On ne peut qu'admirer la perspicacité avec laquelle Fabien Armengaud a composé son programme et la pertinence des enchaînements. Les pièces d’Étienne Richard s'intègrent avec bonheur dans ce continuum. D'autant qu'interprétées avec la classe que sait leur communiquer l'interprète. " Jean-Pierre RobertON-mag

"Fabien Armengaud défend ces œuvres avec conviction et fluidité. Le toucher noble et retenu, le contrepoint d’une lisibilité claire, les tempi mesurés mais fermes évoquent un art digne sans être sévère, intime sans se livrer à l’abandon." Viet-Linh NguyenMuse Baroque

"Grâce à ce passeur, et pédagogue, c’est tout un magnifique patrimoine musical et culturel qui ne cesse de revivre à nos oreilles." Olivier Olgansingulars

"Au-delà de la découverte, ce disque présente un bel éventail du goût français du XVIIème siècle absolument passionnant d’autant plus que le clavecin Alain Anselm 2014 construit dans l’esprit des instruments français des dernières décennies du XVIIème sonne vraiment très bien." Hugues Rameau-Crays - Classique c'est cool

"Le claveciniste a ainsi constitué des suites de danse en piochant chez différents compositeurs, et il les articule avec talent pour constituer un échantillon de ce qu’on pourrait appeler le clavecin quotidien du Grand Siècle, loin des œuvres maîtresses, mais au charme certain."  Gérard Pangon - Musikzen

"Voilà. Soixante dix minutes apaisantes et stimulantes à la fois. Imaginez ces personnages musiciens et compositeurs, proches du roi Louis XIV. Surgis d’un manuscrit illustre. Désormais réunis en un disque construit comme un concert, incluant jusqu’à ses enchaînements. Et puis, ce Monsieur Richard, maître de clavecin qu’on rencontre par la musique."  Anne Sandrine Di Girolamo - GANG FLOW

"C’est là un florilège de la musique française pour clavier en un temps où le chef de l’État était sensible aux arts. Autres temps, autres mœurs … !"  Philippe Gut - opéramusiclassic

"Par le « Prélude » de la Suite en ré mineur, nous quitterons ce disque en admirant le toucher de Fabien Armengaud, qui possède tout l’art des agréments du clavecin, pincés simples ou doubles, des tremblements, des batteries de croches, trilles, notes vertigineusement rapprochées, toute une palette de nuances qu’on dénie à tort à cet instrument, dont on goûte les doux scintillements satinés, diaprés, chatoyants, moelleux, vaporeux :à preuve, la plage 1."  Benito Pellegrin - Les Chronique de Benito Pelegrin

"La pertinence de ce délicat spicilège, majoritairement en mode mineur, le dispute à la subtilité d’interprétation. Armengaud en transmet ingénieusement les affects. (...) On ne se lasse pas d’écouter ce disque, invitation dans le Grand Siècle !"  Jo Ouakin - Anaclase

"This is very committed playing, with sprightly ornamentation, determined (in a good way) to make the best possible case for this little-known music though an extra layer of enjoyment can be detected in the luxuriant textures of the Louis Couperin Passacaille that closes the programme." David Hansell - Early Music Review

"Fabien Armengaud delivers engaging and stylish performances of the pieces he has selected. He plays a nice instrument, the copy of a harpsichord of the late 17th century, which produces a more pregnant sound that later instruments which are often used in French harpsichord music. It suits the music on the programme very well. The disc ends with one of Louis Couperin's most famous pieces, the superb Passacaille in C, which receives a majestic performance. There is no better way to end this captivating programme. " Johan van Veen - MusicWeb

 

 

François Couperin - Suites Royales

Claire Gautrot, viole de gambe & Marouan Mankar-Bennis, clavecin

 

France Musique "En pistes !" par Emilie Munera et Rodolphe Bruneau-Boulmier

Europe 1 "Musique Classique" par Laure Dautriche

RCF "la culture en Provence"par Benito Pelegrin


"Watteau a peint un scène nocturne mais inondée par un flambeau éclatant qui révèle une guitare, des couleurs, ds regards. Gautrot et Mankar Bennis donnent à entendre cette diversité. (...) Sans nul doute, voilà un Couperin auquel nous reviendrons souvent." 
Loïc Chahine - Diapason

 

"La parfaite cohésion de sens des deux artistes trouve son apogée dans la Musète de Choisi et Musète de Taverni, interprétée comme une basse continue en ritournelle, et qui dégage encore une poésie puissante. Vraiment, un très beau concert."  Matthieu Roc - ResMusica

"Formée par Paolo Pandolfo et David Simpson, la gambiste Claire Gautrot apporte ce jeu idéal et troublant à son instrument par la profondeur et la clarté du chant, alliées à cette vibration supérieure et mélancolique qu’accompagne l’élégant clavecin de Marouan Mankar-Bennis, fidèle partenaire du Poème Harmonique."  Franck Mallet Musikzen

"(Couperin) y cultive l'art de la conversation en musique et celui dit des ''goûts réunis'', synthèse entre les styles français et italien. Deux interprètes inspirés en livrent une magistrale exécution"  Jean-Pierre Robert - ON-mag

"J’ai déjà évoqué les réalisations du label L’Encelade, l’un des meilleurs labels français du moment. Et je vous signale donc la sortie aujourd’hui de ces Concerts Royaux de Couperin, par Claire Gautrot et Marouan Mankar-Bennis. Ce sera sur ma platine cette semaine." Yves Riesel - COUACS

"Clasica2 recommande cet excellent CD de Claire Gautrot et Marouan Mankar-Bennis avec des œuvres de Couperin édité par le prestigieux label français  L'Encelade  Un vrai délice !" (traduit de l'espagnol) Clasica2

"Rompus à l'art de la conversation, les deux instruments captivant et ravissant alternent solo plein de grandeur aristocratique, émotions pastorales et sérénité mélancolique." (traduit du russe) Музыкальная афиша – Affiche musicale

"Claire Gautrot un interprete raffinata e versatile, a suo agio nelle pieghe, nelle luci e nelle ombre di questa musica complessa e cortigiana. E Marouan Mankar-Bennis la segue ed accompagna, in riguardosa prospettiva, in queste narrazioni destinate a distrarre attraverso la raffinata evocazione di remote atmosfere.."  Ferruccio Nuzzo - Grey Panthers

 

JS Bach - Trios pour clavier et violon

Odile Edouard, violon & Freddy Eichelberger, orgue


"A la console, Eichelberger manifeste son intime connaissance de cette musique par des registres appropriés à la plastique des motifs, à leur figuralisme sous-jacent, au caractère de la basse.L'archet d'Edouard n'est pas en reste face à ce partenaire changeant. Le délicieux paradoxe d'un trio de timbres confiés à deux interprètes cède le pas à une impression d'ensemble instrumental (...)."
Vincent Genvrin - Diapason

""La richesse et la variété des registres de l'orgue, leur profondeur sonore et leur dimension polyphonique élargissent l'espace auditif sans écraser les violons. Le chant de ces derniers déploie une impressionnante variété d'humeurs et de couleurs. De quoi faire voyager l'âme autant que les oreilles." Sophie Bourdais Télérama

Critique audio par Benito Pelegrin sur RCF 

"Trois ambiances différentes pour magnifier le bel éventail baroque qu’ouvrent claviers et cordes sur une élégante farandole de sons." L'Alsace


"Le résultat est fascinant où le violon se fond dans l’orgue dialoguant sous un contrepoint rigoureux, élégiaque parfois ou teinté souvent d’allégresse." Philippe Gut opéramusiclassic

"So here is a partnership of instruments that grew on me musically over the entire programme. As one who is primarily an organist, I found the choice of instruments fascinating and the playing impeccable, as you would expect. It opens a whole alternative sound-world which I hope our violinists will be keen to explore, even if the right organs will be hard to find." David Stancliffe - Early Music Review

"Sei strumenti diversi: tre violini e tre organi dalle caratteristiche ben identificabili anche per il melomane che non sia veramente uno specialista, per una registrazione particolarmente riuscita e che (...) mette ben in evidenza il dialogo degli strumenti nelle complesse architetture bachiane." Ferruccio Nuzzo - Grey Panthers

 

 

Blancrocher - L'Offrande

Pierre Gallon, clavecin

"Gallon n'est pas un musicien de l'effet. D'une pénétrante subtilité, son art préfère laisser leur entière place aux silences (étreignant dans le Tombeaux de Froberger) et aux résonances (magnifiant les errances du Prélude à l'imitation de Froberger de Couperin) pour mieux happer l'auditeur. Il offre ici une réalisation de très haut vol, d'une densité par instant presque suffocante où passe néanmoins assez d'air voire d'ivresse (l'irrésistible pulsation des gigues) pour qu'elle ne soit jamais écrasante." Jean-Christophe Pucek Diapason

 

"(Charles Fleury de Blancrocher) est ressuscité grâce au clavecin de Pierre Gallon qui réunit les tombeaux écrits à sa mémoire. Auusi inédit que réussi." Philippe Ramin - Classica

Prise de son du mois

"Quand le grand luthiste Blancrocher meurt à la suite d’une chute dans les escaliers de son domicile parisien en 1652, les compositions en mémoire de cette figure de la société musicale du XVIIe siècle se multiplient. Aujourd’hui, le claveciniste Pierre Gallon lui redonne vie dans un magnifique disque." François Ekchajzer Télérama

 

Recommandé par Music Island

 

 

 

Coup de coeur 2020 de RCF

  

"On ne louera jamais assez le soin avec lequel le « petit » label L’Encelade aborde les répertoires et met en avant ses interprètes – en particuliers « ses » clavecinistes. Après la redécouverte par Marouan Mankar-Bennis de « Pièces de Caractères » de François Dandrieu (ECL 1701), voici un album tout aussi passionnant, imaginé autour d’un certain Charles Fleury sieur de Blancrocher (1605-1652), luthiste de son métier, ami de Louis Couperin, Dufaut, Gaultier-le-Jeune et Froberger… devant lequel il décéda en chutant dans un escalier" Franck Mallet Musikzen
 
"Pierre Gallon a choisi de faire entendre deux clavecins très différents dans ce disque : un clavecin d’esthétique italienne fait par Philippe Humeau, et un clavecin français d’Émile Jobin qui rend au mieux la polyphonie du répertoire de luth. Le toucher de l’interprète est somptueux, parfaitement mis en valeur par une prise de son très soignée, comme toujours chez L’Encelade, qui donne beaucoup de présence aux instruments." Cécile Glaenzer ResMusica
 
"Le claveciniste Pierre Gallon a eu l'idée d'honorer le célèbre luthiste Charles Fleury de Blancrocher en réunissant sur ce disque les quatre ''Tombeaux'' écrits à sa mémoire par ses pairs suite à son décès accidentel. Il les associe à un florilège de pièces de ceux-ci pour clavecin ou transcrites du luth pour cet instrument, qui auraient pu être jouées chez le musicien à la faveur de soirées musicales entre amis. Un récital aussi original qu'enrichissant." Jean-Pierre Robert On-mag
 
"L’excellente idée de Pierre Gallon fût de réunir pour la première fois au disque ces quatre pièces, en leur adjoignant une série de morceaux de forme plus classique (préludes, suites de danses, fantaisies, etc.), composés à Paris par ces quatre compositeurs, dans les années 1650." Jefopera
 
"(Blancrocher) nous demeurerait à jamais obscur s’il n’avait eu la chance d’être immortalisé non seulement par les deux Tombeaux de Froberger et Couperin mais également par ceux d’autres musiciens de ses amis comme Gaultier et Dufaut qui ne déméritent pas à côté, et parfaitement servis dans ce disque." Les chroniques de Benito Pelegri
 
"Dans cet univers de cordes pincées, Pierre Gallon sur un lumineux Philippe Humeau inspiré par des clavecins italiens de la seconde moitié du XVIIe siècle, tisse des fils secrets entre l’univers des luthistes et celui des claviéristes, révélant une poésie fragile et pourtant hardie, qui de danses en portraits égrène les caractères d’un art perdu." Jean-Charles Hoffelé ARTAMAG'
 
"Un disque tout à fait recommandable, avec un très beau travail de transcription de pièces de luth pour le clavecin. Très bonne prise de son, image large et profonde." Michel Pertile Utmisol
 
"Tout ceci est merveilleusement interprété sur deux clavecins d’inspiration italienne et française par Pierre Gallon (qui signe une notice richement documenté. En cadeau final, au luth (par Diego Salamanca), L’Offrande qui composa Blancrocher lui-même !" Philippe Gut opéramusiclassic
 
"This is a brilliant programme. There’s quite a preponderance of slow tempi so perhaps you have to be in the right mood to listen straight through but the music is all very good as are the performances (to say the least). (...) strongly recommended for both the programme and its execution." David Hansell Early Music Review
 
"This album should appeal to anyone with an interest in French harpsichord music of the seventeenth century. Pierre Gallon plays with sensitivity and idiomatic awareness." Glyn Pursglove MusicWeb
 
"This is an intense exploration of a very sophisticated, and for some, esoteric musical world, but the choice of pieces, use of registration, and performance itself, all ensure that the modd is not gloomy."  Colin Booth - The Consort
 

 

 Mottetti e Canzoni virtuose

La Guilde des Mercenaires, direction Adrien Mabire

 

Album "Choix de France Musique"

 

 

"Le résultat est absolument enthousiasmant. Même une oreille habituée à la musique italienne de cette époque est immédiatement séduite par la variété et l’ampleur des sonorités et du jeu, la netteté des intentions et la force du discours. (...) En plus de donner une vision plus juste de ce qu’était la musique italienne de l’époque, sans distinction nette entre profane et sacré, cet enregistrement est un enchantement constant pour l’auditeur et ne peut que donner envie de vivre l’expérience du concert en église."Stéphane Reecht - ResMusica

"La Guilde des Mercenaires : le chant avant out (...) Une belle escouade pour une belle parade." Jean-Marc Warszawski - Musicologie.org 

"Plénitude et relief sonore, équilibre et combinaisons hardies (virtuosité du basson et de l’orgue de la Sonata prima de Bertoli) : la Guilde des Mercenaires réinvente San Marco en Charente !" Franck Mallet - Musikzen

"Loin d'être des "Mercenaires", cette brillante phalange est inégalable par la beauté du son, sa virtuosité, sa puissance sonore, son dynamisme. Les discophiles se croiront à Saint-Marc de Venise... Incontestable réussite sur tous les plans : originalité du programme, choix du lieu adéquat et parti pris d'interprétation." Edith Weber - Musique sacrée / L'organiste

 

Le Clavecin Mythologique

Anne Marie Dragosits, clavecin

 

Prix de la critique musical allemande - Instrument à clavier

 

 
 "L’interprétation très théâtrale d’Anne Marie Dragosits convient bien à l’évocation de ce monde imaginaire et met en valeur les nombreuses possibilités sonores de l’instrument de Taskin conservé au Musée des Arts et Métiers de Hambourg.'" Cécile Glanezer - ResMusica
 
"De Médée (Duphly) à Jupiter (Forqueray), du Tartare des Cyclopes (Rameau) aux Champs Elysées des Ombres Errantes (Couperin), la claveciniste brosse un panorama extrêmement diversifié de cette antiquité fêtée à l'opéra comme dans la littérature du clavecin. (...) Très à l'écoute des registres contrastés d'un instrument atypique, Dragosits tente des coloris qui font mouche la plupart du temps (...)." Philippe Ramin - Diapason
 
"Tout en explorant les possibilités expressives du Pascal Taskinn qui sont faites pour cela, Anne Marie Dragosit nous offre un récital chargé de fougue virtuose à la densité orchestrale d’autant plus appuyée que l’enregistrement est au plus proche de l’instrument." Jean-Marc Warszawski - Musicologie.org
 
"Grâce à la maîtrise, l'imagination et à la créativité d'Anne Marie Dragosits, l'auditeur enthousiaste découvre de nouvelles sonorités qu'il savait exister en théorie, mais qu'il n'a certainement jamais pu réellement entendre d'une manière aussi ensorcelante. Avec ce merveilleux clavecin Taskin aussi magnifiquement restauré, Dragosits a trouvé l'inspiration pour réaliser ce tour de force. Une production exceptionnelle !" Michael Wersin - Rondo
 
 "Il fallait tout l’art d’Anne Marie Dragosits pour arpenter avec tant de poésie et d’à propos ce grand clavecin français au soir de son règne, et transfigurer ses audaces et ses nostalgies dans un instrument qui irait comme un gant à une intégrale François Couperin." Jean-Charles Hoffelé - ARTAMAG'


 

 

Johann Adam Reincken - Toccatas, Partitas & Suites

Clément Geoffroy, clavecin

 

Album "Sélection de France Musique"

 

Toccatas, partitas et suites de Johann Adam Reincken par le claveciniste Clément Geoffroy dans Musique Matin (France Musique) par Clément Rochefort.

 

"Quel bonheur que cet enregistrement ! Tout y est somptueux : la musique de Reincken, le jeu tour à tour brillant et sensible de Clément Geoffroy et le son ample du clavecin d’Émile Jobin. Une fois de plus, L’Encelade nous offre une pépite." Cécile Glaenzer - ResMusica

"Déjà remarqué dans un disque de transcriptions vivaldiennes dont il partageait l’affiche avec Gwennaëlle Alibert (L’Encelade, 2017), le claveciniste Clément Geoffroy livre ici un récital de haute volée, investissant cette partie de la production de Reincken (ou susceptible de lui être attribuée) avec une flamme qu’on n’y rencontre pas souvent." Jean-Christophe Pucek - Wunderkammern

"Le naturel de l'ornementation, le plaisir évident de rajouter fusées et traits spirituels contribuent à la réussite de ce premier récital plein de panache." Philippe Ramin - Diapason

"Exaltant aussi bien l’humour des notes répétées du Rossignol hollandais que la tendresse du thème de la Meierin, qui s’ébat ensuite dans des développements entraînants mais soigneusement pesés, le jeu souple et tenu du claveciniste ménage les clins d’œil et la rigueur" Loïc Chahine Le Babillard

 

JF Dandrieu - Pièces de Caractère

Marouan Mankar-Bennis, clavecin

 

"Dès les premières mesures, j'ai découvert un jeu élégant, délicat, avec beaucoup de finesse dans les nuances, et dieu sait que cela est difficile au clavecin. Et puis aussi une profondeur, que je n'attendais pas forcément dans ce répertoire. Quelque chose d'indicible, de subtil, de caché peut-être, qui pourrait relever de la tristesse et de la douleur." JefOpera

"Herborisant dans les trois grands Livres de clavecin, Marouan Mankar-Bennis se sera composé une tragédie lyrique pleine d’élan et de flamme. Quelle audace pour ce que je crois bien être son premier disque !" Jean-Charles Hoffelé ARTAMAG'

"Marouan Mankar-Bennis fait preuve d’un jeu sensible au phrasé précis et d’une grande virtuosité comme dans La Magicienne ou Le Bal Champêtre." Marc Laborde - Utmisol

 

 

J. Haydn - per il cembalo solo

Pierre Gallon, clavecin 


 
"Trois ans après un album élaboré autour d'Attaingnant, (...) il s'impose à nouveau par une présence généreuse, attachante, libre."
Gaétan Naulleau - Diapason

 

La sonate per Clavicembalo HobXVI:27 (1776) extraite de ce programme ouvre Les indispensables de Diapason consacrés au sonates pour clavier de Haydn !

 

"L’attention sans cesse portée au doigté par Pierre Gallon orchestre le phrasé, le jeu des styles, le prisme des couleurs. Tout cela contribue à vivifier la mélodie. Le son du clavecin est source de sensualité, d’envoûtement…" Jean-Stéphane Sourd Durand - BaroquiadeS

"Remarquable prise de son d’une parfaite limpidité, élégance de la présentation, autant d’éléments qui associés aux précédents font de cet opus un fort bel enregistrement." Marc Laborde - Utmisol

 

" (...) il ne fait guère de doute, à mes yeux, qu’il existe entre le compositeur et Pierre Gallon une certaine communauté de nature qui n’est pas étrangère à son indiscutable réussite." Jean-Christophe Pucek - Wunderkammern

 

 

Antonio Vivaldi - Concerti pour deux clavecins

Gwennaëlle Alibert et Clément Geoffroy, clavecin

 


"(L)eurs arrangements débordent d'ingéniosité, leur interprétation de virtuosité, de passion. (..) Un hommage plein de couleurs et d'atmosphère, qui loin d'être anecdotique révèle au contraire  (jusque'après le dernier accord) une nouvelle façon d'apprécier cette musique. Un exemple à suivre." 
Olivier Fourés - Diapason

"Force est de constater que le résultat est une absolue réussite et donne naissance à un disque virtuose et festif!" Marc Laborde - Utmisol

"(L)'imagination nous offre ici un concert original et fort bien mené, parfois saisissant." Jean-Marc Warszawski Musiologie.org

"Le résultat est une parfaite lisibilité de la forme concertante, avec le dialogue des tutti et des soli et une palette de couleurs qu’un instrument seul ne pourrait rendre aussi parfaitement." Cécile Glaenzer - ResMusica

 "Du beau travail, de la belle exécution." Jean-Pierre Robert On-Mag


 

Girolamo Frescobaldi - Intavolatura di Cimbali

Les Yoann Moulin, clavecin


"L'extrême souplesse du toucher, cette manière permanente d'arpéger nous plongent dans un loitain passé où la tecbhnique de clavier se devait de produire un effet proche des luths et autres théorbes. (...) Il faudra suivre ce poète." Philippe Ramin - Diapason

 

"Un programme Frescobaldi fort bien défendu par un interprète émérite, Yoann Moulin qui fait appel à deux instruments distincts : d’une part un clavecin italien de 2012 construit par Philippe Humeau Barbaste, d’autre part un virginal de Jean-François Brun qui est la copie identique d’un instrument dû à un facteur anonyme italien de 1626." ***** (5/5) Michel Jakubowicz - On-mag.fr

"À tout moment, Yoann Moulin fait entendre les richesses de l’écriture ; il met en valeur les angles du discours sans le faire paraître hérissé de pointes. Un disque concentré, pesé, peut-être un peu austère de prime abord, parce qu’exigeant, mais profondément stimulant." Loïc Chahine - Le Babillard
 
"Continuiste recherché, le discret Yoann Moulin signe ici un premier disque soliste mieux que prometteur, accompli, et on salue d’autant plus sa réussite qu’il a choisi de se confronter aux œuvres d’un musicien qui requiert autant de distance pour analyser et se conformer à la rigueur de ses constructi ns que de capacités d’émancipation afin de ne pas s’y enfermer et de rendre justice à son irrépressible liberté." Jean-Christophe Pucek - Wunderkammern
"
 

 

In Nomine

Les Harpies direction Freddy Eichelberger

 

Album "Sélection de France Musique"

 

 

 

"Attention cet "In Nomine" est en fait un "omni inné" !!! Un objet musical non identifié... (...) Comment ne pas être bluffé par tant de variété ? (...) Délectons-nous, jusque dans les bransles qui viennent conclure le programme sur un clin d'oeil, tout de connivences pécheresses." Denis Morrier - Diapason

 

"Projet ambitieux mais pari tenu. Dire que nous sommes tombés sous le charme de ce disque ne suffirait pas pour exprimer à quel point nous avons ressenti du plaisir à l’écouter et le réécouter… et à partager notre enthousiasme d’auditeur comblé." Michel Boesch - BaroquiadeS

 
"Il y a quelque chose de Rabelais et de Jérôme Bosch dans ce voyage-disque étonnant et détonnant, prenant et surprenant, quelque chose, comme chez l’un et chez l’autre, de foisonnant, tantôt d’inquiétante étrangeté, tantôt d’apaisante réjouissance ; toujours délirant et génial." Loïc Chahine Le Babillard

"Ce programme se déroule dans un étonnement permanent, et une ambiance de jubilation suffisamment rare pour ne pas être soulignée." Albéric Lagier Musikzen

"Comme le montre la décoration de l’orgue de Saint-Savin, faite de représentations allant du pieux au vulgaire, l’art de la Renaissance est hautement contrasté, monde en devenir et en recherche de toutes sortes d’émotions musicales. Ce disque en est une parfaite illustration, et partant, une fort belle réussite." Frédéric Muñoz - ResMusica

"Une belle réussite pour ce premier enregistrement discographique de l’ensemble Les Harpies, à mettre une fois de plus au crédit du label Encelade. A écouter absolument !" Patrice Imbaud L'Education Musicale"

 

 

G BASSANO - Ricercare per strumenti insieme 

La Guilde des Mercenaires direction Adrien Mabire

 

Album "Sélection de France Musique"

 

 

 

"Cet album courageux offre un somptueux panorama de l'art de la diminution en Italie à la fin du XVIe siècle" Denis Morrier Diapason

 

4 étoiles de Classica "Autant de qualités réunies par nos mercenaires qui font de Giovanni Bassano le précurseur inspiré de Giovanni Battista Fontana et de Dario Castello" Jérémie Bigori Classica

La sélection musicale de L'Obs
"Le cornet d’Adrien Mabire sera une révélation pour qui ne connaît pas cet instrument doux, voilé, capable de la plus grande agilité" Jacques Drillon - L'Obs
 
Recording of the month of MusicWeb-International -December 2016
"Not only are these pieces by Bassano excellent stuff, they receive outstanding performances from the musicians in this ensemble who are all experts on their respective instruments. The level of music making and the importance of this repertoire justifies the label of Recording of the Month"  Johan van Veen MusicWeb-International
 
 
 

 

JCF FISCHER - Uranie

Elisabeth Joyé, clavecin et orgue

 

Album "Sélection de France Musique"

 

 

 

Choc de Classica - septembre 2016

 

 

"Par son éloquence châtiée et la délicatesse de son geste, la claveciniste Elisabeth Joyé restitue à merveille ces "Goûts Réunis" que prisera le premier XVIIIe siècle. (...) Voici un disque idéal pour découvrir ce compositeur, encore peu enregistré, que Bach tenait en haute estime." Philippe Venturini - Classica

"(Elisabeth Joyé) nous invite chez et parle comme à des amis (..). D'une plage à l'autre, nous sommes touchés par le ton de confidence, enchantés par l'élégance de la diction dans un air varié." Gaétan Naulleau - Diapason

"Elisabeth Joyé excelle (...) : dominant parfaitement le raffinement du goût français (...) son toucher sûr et convaincant met joliment en lumière la franchise simple de la musique de Fischer" Wissâm Feuillet Le Babillard

"Élisabeth Joyé a choisi, la clarté et la lumière, la grâce, ce qu'on préfère aux propositions plus véhémentes, plus terrestres et verticales sur les basses, comme celle de William Christie il y a une quarantaine d'années" Jean-Marc Warszawski Musicologie

"Ce disque résume idéalement l’art au clavier de Johann Caspar Fischer et permet une découverte de taille pour qui n’aurait en tête que l’évocation d’un auteur lointain et oublié. Cet enregistrement rétablit magnifiquement une certaine injustice."  Frédéric Muñoz ResMusica
 
 

Voyage d'Allemagne

Emmanuelle Guigues, viole de gambe

 

Album "Sélection de France Musique"

 

 

"Emmanuelle Guigues offre là un disque tout à fait réussi qui propose un programme cohérent et de la belle musique où brillent de vraies qualités d’interprète" Loïc Chahine Le Babillard

"L'éminente gambiste française Emmanuelle Guigues dont la viole de gambe fait chanter ce CD à ravir illustre partfaitement (le "Stylus Fantasticus") qui se développe au tournant des XVIIe et XVIIIe siècles". Philippe Gut Vaucluse Hebdo

"Son style servi par une authentique sensibilité, profond, d’une très grande intensité lui permet d’appréhender avec une précision stupéfiante ce répertoire si complexe aux méandres semblant proches de l’infini." Michel Jakubowicz On-mag 

 

Motets pour une princesse

Ensemble Marguerite-Louise, dirigé par Gaétan Jarry

 

Prix du Patrimoine Baroque Français 2016 de l'Académie Lyrique du Disque

 

 

"Nous le disions d’emblée : voilà un enregistrement qui s’impose d’emblée comme une référence dans le discographie. On ressent à l’écoute des six motets une véritable tendresse — car cette musique de Charpentier a véritablement la capacité d’attendrir, et l’ensemble Marguerite Louise celle de nous faire fondre." Loïc Chahine Le Babillard

"Gaétan Jarry dirigeant l’ensemble Marguerite Louise, réussit le tour de force d’insuffler aux motets de Marc-Antoine Charpentier une spiritualité sincère, apportant également aux pièces d’orgue de Jacques Boyvin toute leur force et tout leur éclat." Michel Jakubowicz ON-mag

"Un très beau disque qui constituera pour beaucoup une découverte dans une antiphonie pertinente où voix et orgue se magnifient mutuellement. Du grand art."  Patrice Imbaud L'éducation musicale

"On est frappé d’entrée, outre la beauté de ces œuvres, par l’approche musicale d’une extrême intensité, portée par une pléiade d’interprètes de premier rang issus de diverses écoles et ensembles déjà prestigieux." Frédéric Muñoz Resmusica

 

W BYRD - Walsingham

Jean-Luc Ho, clavecin et orgue

 

Album "Sélection de France Musique"

 

 

 
 
Des virginalistes, des interprètes ont parfois exalté l'extravagance ou la polyphonie ambitieuse, mais rarement flatté à ce point la sensibilité." Philippe Ramin - Diapason 

Trois questions à Jean-Luc Ho "Pour l'amour de Byrd"  concertclassic.com

"Une production magistrale de plus à l'actif du Label L'Encelade." Edith Weber- L'Education Musicale

"Recourant à des instruments copiés d’anciens, l’organiste et claveciniste Jean-Luc Ho présente un enregistrement tout à fait passionnant d’œuvres fort diverses du compositeur élisabéthain William Byrd" Danielle Anex-Cabanis - Utmisol

"Sommet de l’album, le cycle de vingt-deux variations qui le nomment, Walsingham : discours sans appui, invention des contre-chants, polyphonies fluides, ornements qui appellent l’idée de la danse – la redoutable virtuosité du cahier passe inaperçue, preuve de l’art de l’interprète" Jean-Charles Hoffelé - Artalinna

 

JS BACH - Sinfonie & Concerti

Ensemble Baroque Atlantique, direction Guillaume Rebinguet Sudre, violon

"L'Ensemble Baroque Atlantique vous rappellera qu'en un temps pas si lointain, la musique ancienne était aiguillonnée par l'esprit d'aventure" Gaëtan Naulleau - Diapason

"La beauté souveraine de la musique de Bach et son intensité expressive qui échappe aux mots semblent avoir guidé l'Ensemble Baroque Atlantique (...). Justesse du trait, précision des nuances, triomphe de la mélodie, motricité de la basse : pari tenu." P. Venturini - Classica

"Guillaume Rebinguet Sudre s'est tellement imprégné de l'écriture de Bach qu'il semble ensuite inventer lui-même, au fur et à mesure qu'il la joue, la partie de violon du célèbre Concerto en la mineur" François Clairant et Séverine Garnier - Sud Ouest 

"L'objectif valait la peine d'être lancé : réalisation originale au service d'une autre expérience d'écoute." Edith Weber - L'Education Musicale

"The playing (...) is dynamic and elegant, the soloists never failing to maintain a light stroke even in the most vigorous passages. This is a highly recommended CD for any Bach enthousiasts who may think there isn't anything else new to be recorded". Ibrahim Aziz The Consort

 

 ATTAINGNANT - Auprès de vous

Pierre Gallon, clavecin 

 

Album "Sélection de France Musique"

 

 

 

"Gallon propose un passionnant mélange de couleur. (...) Rejoint par deux comparses claveciniste et luthiste (...), l'ensemble du programme atteint un grande variété. De quoi donner de belles couleurs à un répertoire fantôme jusqu'à ce jour !" David Fiala - Diapason

5 Muses "Ce parcours édité par L’Encelade, pendant pour clavier des opus de Doulce Mémoire, est une vraie et sage réussite." Viet-Linh Nguyen - Muse Baroque

 

 CPE BACH - Testament et promesses

Aline Zylberajch, piano-forte et clavecinAlice Piérot, violon

 

"Alice Pérot se fond avec délice dans la couleur du piano en prolongeant le magnifique travail sur la texture et le timbre auquel se livre sa complice. Aline Zylberajch ouvre encore l'éventail des styles avec les 12 Variations sur les Folies d'Espagne qui permettre d'exploiter toutes les ressources de l'instrument en solo. On retrouve ce qu'on aime tant dans son inoubliable album Scarlatti : une grande probité musicale, un goût parfait et une l"gère fébrilité qui s'accorde idéalement à l'écriture de Carl Philipp Emanuel." Philippe Ramin - Diapason

5 Muses "Les deux interprètes, complices de longue date, emploient à merveilles toutes les possibilités expressives de leurs instruments, au service d’une musique qui les sollicite déjà beaucoup." Denis Dumée - Muse Baroque 

 

 ALBINONI - Sonates pour violon

Guillaume Rebinguet Sudre, violon / Claire Gratton, violoncelle / Jean-Luc Ho, clavecin

Muse d'or "Une réalisation exemplaire, et un incontournable pour toute discothèque vénitienne qui se respecte" Viet-Ling Nguyen - Muse Baroque

«Disciple d’Hélène Schmitt, Guillaume Rebinguet-Sudre a hérité d’elle une sonorité somptueuse et un art admirable de l’ornementation. Se jouant avec une apparente facilité des allegros, il insuffle aux mouvements lents une intense dimension poétique. (..) Belle réussite et programme intéressant où l'on retrouve la Sonate en si bémoldédiée à Pisendel et celle en la mineur que Bach appréciait.» Philippe Ramin, Diapason

 

 BACH-COUPERIN

Jean-Luc Ho, clavecin

 

Album "Sélection de France Musique"

 

 

"Jean-Luc Ho a appris comment débusquer les troubles du sentiment sous les symétries de surface. C'est supérieurement réalisé dans le détail, d'une grâce indolente parfois inattendue (...), éblouissant dans la vaste Passacaille..." Philippe Ramin - Diapason

"(Jean-Luc Ho) joue Couperin avec une fermeté virile qui lui sied si bien et le met en regard de "L'Ouverture dans le style français" de Bach, à laquelle le beau toucher et la fine intelligence du musicien profitent tout autant" Renaud Marchart - Le Monde

 

 RAMEAU, BALBASTRE, ROYER - Airs d'opéra accommodés pour le clavecin

Catherine Zimmer, clavecin

4 Muses "...le jeu animé de Catherine Zimmer redonne vie avec bonheur à ces pièces mal connues du répertoire, avec une aisance remarquable dans les passages les plus difficiles." Bruno Maury - Muse Baroque

"Catherine Zimmer aborde ce répertoire avec beaucoup de conviction, et nous plonge d’emblée dans cet univers magique du petit opéra de poche. Le jeu est à la fois clair et profond, soutenu par les couleurs d’un magnifique clavecin français..."Frédéric Munoz - Resmusica